AUDIBLE

lundi 28 janvier 2013


ERCIM Fellowship Un programme de bourse post-doctorale (si vous avez moins de huit ans depuis la soutenance de votre doctorat), dernier délais pour postuler 28 février 2013.

mercredi 9 janvier 2013

Espace-astéroïde


L'astéroïde Apophis s'approchera de la Terre mercredi

source:http

L'astéroïde Apophis, qui doit frôler la Terre en 2029 et pourrait éventuellement la frapper en 2036, s'en approchera mercredi 9 janvier, à une distance de 14,4 millions de kilomètres, ont annoncé des astronomes, mardi 8 janvier.

Des scientifiques avaient dans un premier temps évalué à une sur 45, soit 2,7 %, les chances d'une collision catastrophique en 2029 avec la Terre de cet objet céleste découvert en 2004 et qui fait 270 mètres de diamètre et la taille de trois terrains de football.

Mais de nouveaux calculs effectués en 2009 par la NASA à la suite d'un survol rapproché d'Apophis, baptisé du nom d'un démon dans la mythologie égyptienne, avait écarté ce risque, prévoyant désormais un passage le 13 avril 2029 à 22 208 kilomètres de la Terre. Il s'agira de la distance la plus faible jamais observée dans les temps modernes.
OBSERVATION EN TEMPS RÉEL À 1 HEURE DU MATIN
La probabilité qu'Apophis entre en collision avec la Terre en 2036 est d'une sur 250 000, selon les nouveaux calculs de Steve Chesley et Paul Chodas, du Jet Propulsion Laboratory de la NASA, à Pasadena (Californie), basés sur de nouvelles techniques et données. Une précédente estimation évoquait une chance sur 45 000. La plus grande partie des nouvelles données ayant permis de recalculer l'orbite d'Apophis provient d'observations effectuées par l'astronome Dave Tholen et son équipe de l'Institut d'astronomie de l'université de Hawaï. Mercredi, il sera possible d'observer Apophis en temps réel sur le site Slooh.com à partir de 1 heure du matin (heure de Paris) jeudi, accompagné de commentaires et de réponses aux questions du public par le président de Slooh, Patrick Paolucci.://www.lemonde.fr/


mardi 8 janvier 2013

ESPACE-MARS

Curiosity dépoussière Mars

Le rover de la NASA a pour la première fois utilisé sa brosse rotative le 6 janvier. Située 

sur une tourelle au bout du bras robotique, elle permet d’enlever la poussière présente sur 

les roches par zones de 4,5 cm de diamètre.


Source:http://www.enjoyspace.com/
Le 6 janvier, soit lors de son 150ème sol (jour martien) de présence sur la planète rouge, Curiosity a enlevé la poussière qui recouvre cette roche avec son outil DRT.
Crédit : NASA/JPL-Caltech/MSSS
Sur la planète rouge, la poussière est omniprésente. Les contrôleurs du rover Opportunity qui fonctionne toujours après 8 ans en savent quelque chose : les panneaux solaires de l’engin fournissent aujourd’hui bien moins d’électricité puisqu’ils sont recouverts de cette poussière baladée par les vents. Parfois, une forte brise peut nettoyer les panneaux plutôt que les polluer (ce qui a déjà rendu service !), mais l’heureux nettoyage gratuit reste très aléatoire...
Arrivé le 6 août 2012, le nouveau rover martien de la NASA, Curiosity, ne connait pas ce souci : son alimentation électrique dépend d’un générateur qui utilise la chaleur du plutonium-238 radioactif. En anglais, on dit un RTG pour Radiosotope Thermoelectric Generator (générateur thermoélectrique à radioisotope).
En revanche, l’imposant laboratoire mobile de 899 kg reste soumis à la poussière de la planète rouge dès qu’il s’agit d’examiner des roches. En effet, ce qui intéresse le plus souvent les scientifiques, c’est bien la composition de la roche et non celle de la poussière qui la recouvre ! C’est pourquoi les concepteurs de Curiosity ont prévu un outil baptisé DRT (Dust Removal Tool - outil d’enlèvement de la poussière) placé sur la tourelle d’instruments située au bout du bras robotique du rover. Il s’agit d’une brosse dotée de deux petits balais avec des «poils» en acier inoxydable. Son moteur imprime une rotation aux balais qui alors enlèvent la poussière sur un diamètre de 4,5 cm.
Au bout de son bras robotique de 2,1 m de longueur, Curiosity possède une tourelle de 30 kg et 60 cm de large dotée de 2 instruments (caméra MAHLI et spectromètre X APXS) et de 3 outils (brosse DRT, perceuse Drill et CHIMRA chargé de collecter et préparer des échantillons).
Crédit : NASA/Enjoy Space

Simple de conception (en apparence, car il faut tout de même répondre aux exigeantes normes spatiales), le DRT n’en demande pas moins une extrême agilité de programmation. En effet, lorsque les contrôleurs au sol de Curiosity programment son action, ils doivent tenir compte de l’encombrement de la tourelle de 60 cm de large (et d’une masse de 30 kg) qui héberge DRT et d’autres outils et instruments. En clair, il faut éviter de heurter des obstacles en amenant le DRT vers son objectif, car on pourrait ainsi endommager des instruments ou outils.
Avec sa caméra MastCam (positionnée sur le mât), Curiosity a photographié la tourelle située au bout de son bras robotique. La flèche montre l’outil DRT (Dust Removal Tool).
Crédit : NASA/JPL-Caltech/MSSS - Enjoy Space

Pour la première utilisation des brosses, les responsables ont donc logiquement choisi une cible facile, soit une roche plate, modérément poussiéreuse et dégagée de tout obstacle. Une fois l’outil maitrisé en «mode facile», il sera toujours temps de se pencher sur des objectifs plus compliqués.

dimanche 6 janvier 2013

Espace


En 2013, deux comètes et deux astéroïdes passeront «près» de la Terre


Le 15 février l'astéroïde 2012 DA14 passera tellement près qu'il pourra faire le bonheur des astronomes amateurs. Quant à la comète ISON, elle devrait être visible à l'oeil nu dès la fin du mois de novembre. Un phénomène rare.

source: http://www.tdg.ch

Lorsque les comètes s'approchent de notre étoile, la chaleur est telle qu'elles rejettent des gaz et une traînée de poussières qui se reflètent dans la lumière du Soleil. C'est ce phénomène que nous percevons comme la «queue» des comètes. 

Dès la semaine prochaine, c'est l'astéroïde 99942 Apophis, baptisé du nom d'une divinité égyptienne du mal et des ténèbres, qui viendra nous saluer. Avec quelque 270 mètres de diamètre et une masse capable de dégager autant d'énergie que 25'000 bombardements atomiques d'Hiroshima s'il heurtait la Terre, ce rocher cosmique porte bien son surnom.
Un astéroïde sous haute surveillance
En 2004, lorsqu'il a été repéré pour la première fois, Apophis avait donné des sueurs froides aux spécialistes qui scrutent le ciel à la recherche de ces menaces surgissant du fin fond de l'espace. Les premiers calculs indiquaient une probabilité de 2,7% pour qu'il percute la Terre de plein fouet en 2029...Tout risque de catastrophe a depuis été écarté par des calculs plus précis. Mais «il y a encore un minuscule risque d'impact» le 13 avril 2036, moins d'une chance sur 250'000, selon la Nasa.
La principale inconnue demeure «l'Effet Yarkovsky», un phénomène découvert par un ingénieur russe au début du XXe siècle. Lorsqu'un corps céleste en rotation s'approche du Soleil, il s'échauffe d'un côté avant de se refroidir lorsqu'il a tourné sur lui-même. Or ces changements de température peuvent provoquer dans certaines circonstances un léger mouvement de l'astéroïde et dévier sa trajectoire, donc peut-être vers la Terre...Les radars de la Nasa seront donc braqués sur Apophis lorsqu'il passera le 9 janvier à environ 14,5 millions de kilomètres.
A l'aide de ces observations, les experts pensent pouvoir réduire encore la marge d'erreur de leurs calculs, et pourquoi pas exclure définitivement tout risque d'impact. L'astéroïde 2012 DA14 est plus petit qu'Apophis (57 mètres de diamètre) mais il va passer bien plus près de nous le 15 février: 34.500 km d'altitude, ce qui signifie qu'il va traverser l'orbite des satellites géostationnaires.«Il s'agira du plus proche survol d'astéroïde qui ait été prédit», explique Mark Bailey, directeur de l'Observatoire d'Armagh, en Irlande du Nord.«Il va passer tellement près que même les astronomes amateurs pourront l'observer, peut-être même avec de simples jumelles», précise-t-il.
Si les astéroïdes sont essentiellement constitués de roche et de métaux, les comètes, elles, sont composées de glace et de poussière. Ces voyageurs solitaires se sont formés à la naissance du système solaire et tournent autour du Soleil avec des fréquences très variables, de quelques années à plusieurs millions.
Retrouvailles après 10 millions d'années
Lorsqu'elles s'approchent de notre étoile, la chaleur est telle qu'elles rejettent des gaz et une traînée de poussières qui se reflètent dans la lumière du Soleil. C'est ce phénomène que nous percevons comme la «queue» des comètes. La première qui nous rendra visite cette année s'appelle 2011 L4, surnommée «PANSTARRS» en raison du télescope de l'Université de Hawaii qui l'a détectée en 2011.
PANSTARRS devrait atteindre son point le plus brillant entre le 8 et le 12 mars, d'après le spécialiste américain des comètes Gary Kronk. Mais c'est encore la comète ISON (International Scientific Optical Network) qui devrait remporter le plus de succès auprès du grand public. D'après certains calculs, ISON pourrait être visible à l'oeil nu juste après la tombée de la nuit à la fin du mois de novembre, un phénomène très rare qui devrait se prolonger pendant plusieurs mois.
ISON est d'autant plus rare que son dernier passage aux abords de notre planète remonte à au moins 10 millions d'années, indique Mark Bailey. «C'est une 'nouvelle comète' provenant de la région du système solaire que nous appelons le nuage d'Oort», s'étendant bien au-delà de l'orbite des planètes et qui marquerait la frontière du système solaire.




Science


Le boson de Higgs ou la joie des petites grandeurs

source: http://french.ruvr.ru

La découverte du boson de Higgs, c’est un peu comme la réinvention du tableau périodique du chimiste russe Dmitri Mendeleïev. Le 4 juillet 2012 restera gravé dans l'histoire de la science comme le jour de découverte du boson de Higgs. Les chercheurs optimistes n’ont pas caché leur joie. C’est une véritable « particule de Dieu » qui a été découverte pour eux ! Quant aux pessimistes, ils n’arrêtent pas de répéter que c’est encore tôt pour se réjouir : la particule n’a pas encore prouvé son droit de s’appeler boson de Higgs.

La physique nucléaire possède son propre modèle standard. Le but de cette science – c’est de décrire le monde des particules élémentaires et leurs interactions, explique le docteur en physique et mathématiques Vladimir Erokhine.
« Le modèle standard – c’est comme un bâtiment dans lequel un certain nombre d'éléments garantissent sa stabilité. Si le boson de Higgs n'était pas découvert, ce bâtiment serait remis en question. Tout cela semble théoriquement très logique. C'est pourquoi peu de scientifiques croyaient que cette particule n’existe pas. Elle est l’élément principal de cette théorie ».
Nous sommes habitués que de nouveaux éléments apparaissent dans le tableau périodique de Mendeleïev. Mais peu nombreux sont ceux qui savent que le modèle standard possède exactement le même mode de fonctionnement. Donc si le boson de Higgs a été vraiment trouvé, les calculs des physiciens étaient justes. C’est ce qui explique leur joie.
« Il s'agit d'une particule spéciale, dont on a besoin dans la théorie moderne », analyse le docteur en sciences mathématiques et physiques Oleg Dalkarov dans un entretien à La Voix de la Russie« Elle ajoute de la masse à d’autres particules qui existent dans l’univers. Le mécanisme, qui a été proposé par Peter Higgs, apporte la masse nécessaire à ces particules ».
Cette découverte ajoute non seulement le chaînon manquant dans la théorie, mais expose également de nouveaux domaines de recherche de la science, ajoute Vladimir Erokhine.
« Le boson de Higgs – c’est vraiment la dernière brique dans ce qu'on appelle la théorie standard des interactions fondamentales. Il s'agit d'une découverte importante, mais pas inattendue. Cette théorie décrit correctement la plupart des phénomènes auxquels nous nous retrouvons confrontés. Et la question qui intéresse tout le monde c’est ce qui se trouve au-delà ».
La découverte des scientifiques peut être facilement transposée dans la vie quotidienne, constate Oleg Dalkarov.
« Tous les hommes qui vivent sur Terre sont différents les uns des autres. Ils sont différents par la couleur de la peau, et d’autres particularités. Mais tous les hommes ont aussi des signes génétiques. Ces signes, communs à tous, créent un champ scalaire unique qui interagit avec toute personne, sans distinction de race ou d'appartenance un groupe quelconque. Nous devrions avoir les mêmes signes, car nous sommes tous des humains ».
La découverte du boson de Higgs est devenue une étape importante pour le Grand collisionneur de hadrons. Il a d'ailleurs été construit pour trouver la « particule de Dieu ». Cependant, les chercheurs n’ont toujours pas de preuves qui confirmeraient qu'il s’agit bien de l’élément manquant, regrette Oleg Dalkarov.
« Dans les données publiées récemment, il y a une certaine controverse. Il faut les supprimer pour s'assurer que les fissions de la particule découverte correspondent aux prévisions du modèle standard. Enfin, une affirmation pourrait être faite qu’il y a plusieurs pics dans le spectre des masses et non pas un seul. Donc une image plus compliquée risque de se présenter. Mais à ce jour, il faut s’assurer que la probabilité de désintégration correspond au modèle standard, et que la particule quantique correspond au boson de Higgs ».
Même si l'élément découvert ne sera pas celui auquel on s’attendait au départ, les chercheurs ne vont pas arrêter de se réjouir. Car avec cette découverte, l'image de l’univers devient plus complexe, mais aussi plus intéressante. Et pour comprendre son fonctionnement, de nouvelles théories et expériences devront être mises en place.





vendredi 4 janvier 2013

ESPACE


Une météorite martienne riche en eau


Trouvée en 2011 dans le désert du Sahara, une météorite de 320 grammes, éjectée de Mars voici 2 milliards d’années, contient 10 fois plus de molécules d’eau que d’autres météorites issues de la planète rouge.

La météorite martienne NWA 7034 contient 10 fois plus d’eau que d’autres fragments issus de Mars et arrivés sur Terre.
Crédit : NASA/Enjoy Space

On comptabilise actuellement environ 110 météorites dites martiennes. Cela signifie qu’à l’occasion d’un événement violent des fragments de Mars ont été arrachés et ce sont ensuite «baladés» avant de finir sur Terre. On pense le plus souvent à un astéroïde qui, en s'écrasant sur la planète rouge, a projeté dans l’espace des morceaux de la surface ou de la croute.
Leur origine est certifiée par les scientifiques qui analysent les gaz piégés au sein même de la météorite lors de son expulsion : si ceux-ci sont identiques à la composition de l’atmosphère de Mars telle qu’elle a été mesurée par les sondes au sol Viking, ou plus récemment par le rover Curiosity, alors le précieux caillou obtient son «certificat martien». Ce fut ainsi le cas pour la météorite NWA 2990 qui est exposée à la Cité de l’espace de Toulouse dans le cadre de l’exposition «Explorez Mars» (voir cet article).



Prêtée par le collectionneur Luc Labenne, cette météorite martienne NWA 2990 est visible à la Cité de l’espace. Attention, le parc spatial toulousain ferme ses portes jusqu’au 5 février à partir du 7 janvier.
Crédit : Luc Labenne Météorites.

Mais revenons à la météorite découverte en 2011 dans le Sahara. Immatriculée NWA 7034 (NWA pour NorthWest Africa, comme la NWA 2990 de la Cité de l’espace), son origine géographique sur Mars ne peut pas être déterminée, tout comme les autres «cailloux martiens» qui ont fini par échouer sur notre planète. En revanche, des spécialistes américains ont calculé qu’elle avait été arrachée à Mars voici 2,1 milliards d’années : elle est donc plus ancienne que les autres météorites martiennes. Pour Mitch Schulte qui travaille à la NASA au sein du programme d’exploration de Mars, NWA 7034 est «une pièce de l’histoire de Mars à un moment critique de son évolution dans le temps». Pour parvenir à cette conclusion, l’agence américaine a financé plus d’un an d’analyses rigoureuses accomplies par l’institut des météorites de l’Université du Nouveau-Mexique à Albuquerque, l’Université de Californie à San Diego et l’institution Carnegie à Washington.
Le plus étonnant est que cette météorite dont la composition s’avère d’origine volcanique contient 10 fois plus d’eau que les autres. Les scientifiques pensent à une interaction des roches avec de l’eau au sein de la croute martienne voici 2 milliards d’années. On remarque aussi la présence de macromolécules dites organiques car contenant du carbone. Cela ne signifie pas que ces molécules attestent de la présence de vie (même très simple) sur la planète rouge voici 2 milliards d’années. Mais on sait que la vie, telle que nous la connaissons, se base sur des molécules composées de carbone et d’hydrogène (d’où leur qualificatif d’organique qui prête parfois à confusion). Ce type de molécules a déjà été constaté dans d’autres météorites martiennes, ce qui fait écho à la première analyse d’un échantillon du sol par Curiosity qui a mis en avant la présence de chlore et de carbone. Toutefois, l’équipe scientifique du rover reste prudente et n’exclue par que le carbone puisse être d’origine terrestre (légère contamination avant le lancement). De futures analyses devraient lever ce doute.





SCIENCES

Un lycéen remet en cause la théorie d'Einstein



Un père et son fils résidant à Strasbourg prouvent à eux seuls que la France a encore de la ressource. Le lycéen de 15 ans et son père ont fait une découverte majeure en astrophysique avec d'autres scientifiques : ils ont décortiqué la formation de galaxies naines autour d'Andromède et leur théorie remet en cause les fondements même de la physique depuis Einstein. L'adolescent est à la Une du journal Nature, le magazine scientifique britannique de référence.






Espace


Météorite de 2,1 mlrds d'années découverte en Afrique du Nord

Source: La voix de la russie http://french.ruvr.ru/
Les scientifiques de l'université du Nouveau-Mexique ont découvert une météorite martienne vieille de 2,1 milliards d'années en Afrique du Nord, dans le désert du Sahara.
Elle a été nommée NWA (Northwest Africa) 7034 et surnommée « Beauté noire » (Black Beauty).
L'abondance de molécules d'eau dans cette météorite lourde de 320 grammes fait penser qu'elle se trouvait sur la surface de Mars il y a 2,1 milliards d'années, selon les scientifiques.
La plus vieille météorite au monde est Allan Hills. Elle a été découverte en 1984 en Antarctique. Elle a 4,5 milliards d'années.

jeudi 3 janvier 2013

Espace

Le Soleil a fait un « clin d’œil » à l’humanité après l’apocalypse


© Photo: www.nasa.gov

L’Observatoire solaire de la NASA (Solar Dynamics Observatory) vient de publier une photo du Soleil, en la regardant on peut avoir l’impression que l’astre serait en train de faire un clin d’œil à l’humanité, rapporte ce mercredi le quotidien britannique The Daily Mail.
Cette photo a été prise le 22 décembre dernier, au lendemain de la date charnière, annoncée dans le calendrier du peuple Maya comme la fin du monde. L'effet « clin d'œil » du Soleil est créé par trois tâches sur l’astre qui se sont formées à la suite de l’activité magnétique.
Grâce à ces images, les scientifiques pourront en apprendre davantage sur les processus qui se produisent à la surface de l’étoile la plus proche de la Terre.